EN BREF…

180 secondes pour convaincre un public profane et diversifié, curieux de tout et prêt à vibrer, sur un sujet de recherche en sciences exactes, humaines ou sociales présenté avec éloquence et passion

Ma thèse en 180 secondes offre une occasion unique aux doctorants et jeunes docteurs de parfaire leurs aptitudes en communication, tout en leur donnant la possibilité de diffuser leur recherche dans l’espace public.

Le concours Ma thèse en 180 secondes est inspiré du concours Three minute thesis qui a eu lieu pour la première fois en 2008 à l’Université du Queensland, en Australie. Le concours québécois est le premier du genre en langue française et existe depuis 2012. Il est organisé en France pour sa cinquième année consécutive par la CPU et le CNRS.

QU’EST-CE QUE C’EST

Le concours Ma thèse en 180 secondes permet à des doctorants de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire profane et diversifié. Chaque participant doit faire, en trois minutes, un exposé clair, concis et surtout convaincant autour de son projet de recherche.

Depuis 2019, l’Université des Antilles organise une finale régionale qualificative pour la demi-finale nationale. Lors d’une finale régionale, trois prix sont attribués, le premier par un jury, le deuxième par les spectateurs et le troisième par les internautes. Seuls les deux premiers prix donnent accès à la phase suivante du concours.

PRIX DU JURY

Le jury, composé de 3 à 5 représentants du monde économique, artistique, des médias et de la culture scientifique et bien sûr du monde de la recherche, attribue le prix du jury en s’appuyant sur les critères suivants :

Talent d’orateur : Savoir parler avec passion et susciter la curiosité du public.

Médiation du sujet : Utiliser un langage accessible, faire usage de métaphores, illustrer son propos d’exemples.

Structure de l’exposé : Présenter un enchaînement limpide d’idées claires, allant de l’énoncé du contexte à la mise en lumière des travaux propre à chaque candidat.

PRIX DU PUBLIC

A toi, cher spectateur, revient la responsabilité de désigner le deuxième finaliste. Sans négliger les critères du jury, tu peux exprimer ton coup de cœur. Eh oui, le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. Et le vote pour l’un ou l’autre des candidats peut se jouer au « feeling ».